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26 novembre 2011 6 26 /11 /novembre /2011 17:29

Collusion scandaleuse de la nouvelle « église conciliaire » avec le B’naï B’rith

(Trahison patente de Jean XXIII)

 

L'HISTOIRE OCCULTÉE DES FAUX HÉBREUX

LES KHAZARS

 

LES JUIFS MODERNES

NE DESCENDENT PAS D'ISRAËL !

Sur notre site : http://www.premiumorange.com/thomiste

 

Notre fichier : khaztalm.htm

 

En PDF sur Internet :

http://www.fichier-pdf.fr/2012/01/15/l-histoire-occultEe-des-faux-hEbreux-les-khazars-1/l-histoire-occultEe-des-faux-hEbreux-les-khazars.pdf

 

 

 

 

Journal du B’naï B’rith américain de décembre 1917, E. L. Ehrlich, président du District européen :

 

« Aujourd’hui, aucun Juif au monde, qu’il se l’avoue ou non, ne peut demeurer à l’écart de ce pays (Israël)  duquel partit dans le monde autrefois le message de Dieu et de la Justice. Il se peut que ce soit souvent un phénomène incompréhensible pour nos concitoyens non juifs, ou qu’on le confonde avec le nationalisme, lorsque les Juifs s’engagent en faveur de l’État d’Israël, alors qu’ils ne sont pas nécessairement toujours en faveur du gouvernement du moment. La relation des Juifs envers ce pays est si profonde qu’elle ne peut à peine être évoquée en parole ; les émotions qui sont reliées à ce pays s’enracinent profondément dans l’inconscient. On ne devrait pas tomber dans l’erreur de caractériser le sionisme  comme étant seulement un mouvement politique moderne, ce qu’il a été naturellement aussi. Mais les Juifs du monde n’auraient jamais suivi ce rédacteur feuilletoniste viennois, Theodor Herzl, s’il n’avait éveillé en eux quelque chose qui n’aurait pas constamment figuré dans leur conscience par la lecture de la Bible, la tradition et le livre de prières. On ne peut pas se retourner trois fois par jour en prière vers Jérusalem, prier pour la reconstruction de cette ville, réclamer en suppliant le retour, et penser qu’il ne s’agit que d’un phénomène littéraire sans répercussions historiques réelles. Le christianisme aussi a eu souvent à en subir les conséquences lorsqu’on voulait spiritualiser sa christologie, pour échapper à la réalité de l’exigence éthique de Jésus. Des Juifs tentèrent quelque chose d’analogue au XIXe siècle avec leurs sources religieuses, et ils purent ainsi se rencontrer sur le terrain d’un néant commun avec leurs partenaires chrétiens correspondants. L’espoir d’avenir juif  ne fut jamais abstrait ; si des Juifs lisaient dans le XXXVIIe chapitre du prophète Ézéchiel qu’ils reviendraient sur leur sol, dans leur pays, ceci était pour eux une réalité éternelle, car cette union, qui promettait ce pays, est d’après le témoignage de la Bible, et précisément ce chapitre, une union éternelle. Quoi qu’il en soit de ce que cela peut signifier aujourd’hui dans la compréhension d’un homme moderne, ce peuple-ci ne s’est jamais séparé de ce pays-là, quelque fût le nombre, petit ou grand, des Juifs vivant là-bas aux diverses époques. Israël appartient à l’existence intellectuelle d’un Juif moderne, qu’il le veuille ou non, qu’il apprécie ou non la politique des Israéliens. Un Juif ne peut échapper à cet Israël, cela le poursuit, parce que c’est constitutif de son histoire, dont on ne peut s’extraire. De quelque façon que l’on veuille définir sa judéité, ce pays qu’Ézéchiel mentionne cinq fois dans ce XXXVIIe chapitre, exige l’intérêt de chaque Juif. »

 

Allocution du docteur Marc Aron, président de la section française du B’naï B’rith, à l’occasion de la remise du Prix international de l’action humanitaire du district XIX (Europe) du B’naï B’rith, au cardinal Decourtray, archevêque de Lyon (le primat des Gaules !) et ancien président de la Conférence épiscopale, le 16 novembre 1991 à Lyon :

 

« (…) Les B’naï B’rith sont les Fils de l’Alliance, ils témoignent à la fois de l’Alliance de Dieu avec son peuple, Israël, et de la vitalité du judaïsme contemporain (1). Souvenons-nous, faisons acte de mémoire ensemble ; il y a quelques jours, nous commémorions la « nuit de Cristal », survenue dans l’indifférence générale de la population allemande et des nations (2). Elle fut le prélude de la solution finale qui conduisit à l’extermination de six millions de juifs, pour la seule raison qu’ils étaient juifs, dans une Europe préparée par l’enseignement millénaire du mépris à l’horreur sacrée du juif (3). Puis vint Jules Isaac (4), un B’naï B’rith ; sa rencontre avec le Pape, c’est l’iceberg, Pseudo Vatican II (5), Nostra Ætate, et les directives conciliaires visant à l’éradication dans la catéchèse et dans la liturgie de tous les concepts anti juifs (et c’est un crime de haute trahison de la part de Jean XXIII qui renie par sa collaboration avec les ennemis du christianisme les fondements de la foi catholique). En vingt-cinq ans fut accompli plus de progrès dans le rapprochement judéo-chrétien et dans la prise en compte des responsables qu’en deux mille ans (6). Et vous en fûtes, Éminence, l’un des principaux artisans. […] Certes, il y a eu quelques béatifications discutables pour nous, mais il y a eu aussi ajournement sine die du procès d’Isabelle la Catholique. […] Avec le cardinal Lustiger, vous vous êtes rendus à Auschwitz non pas en pèlerinage, le mot est impropre pour des chrétiens, mais en repentance (7). […]. »

 

1) Cf. l’Épître de saint Paul aux Hébreux, les chapitres VIII à X : La Nouvelle Alliance est supérieure à la première qui a été rendue caduque ou obsolète par le Sacrifice unique du Christ (a), parce qu’il n’y a pas d’alliance véritable ni par conséquent de pardon de Dieu sans effusion de sang et que le sang des boucs et des veaux n’en peut mais – à moins de diviniser les animaux en les croyant capables de notre rédemption, nous ne voyons pas comment il pourrait en être autrement. L’apôtre Paul, en citant judicieusement l’Ancien Testament, a suffisamment été clair à ce sujet. Avec un peu de bonne volonté, même un juif devrait être capable de suivre son raisonnement. Il n’est peut-être pas non plus inutile de rappeler certains passages de l’Ancien Testament qui nous révèlent que la grandeur d’Israël repose essentiellement sur la foi d’Abraham en la Promesse de Dieu et non pas sur sa simple descendance charnelle (b). En effet, si cette descendance promise ne devait être que charnelle, celle d’Agar, l’esclave d’Abraham, qui lui enfanta Ismaël, n’aurait-elle pas été suffisante ? (c) Or ce fut la descendance de Sarah, la femme libre, l’épouse naturellement stérile d’Abraham, qui fut choisie et qui, dans sa vieillesse, lui enfanta Isaac (d). Et si nous retenons maintenant l’histoire d’Isaac, nous pouvons remarquer que sa femme Rebecca était également stérile et ne devint enceinte que par la vertu divine, mais qu’elle conçut deux enfants jumeaux et que ce fut cependant Jacob, le cadet, qui, conformément aux décrets de la divine Providence, reçut la bénédiction de Dieu, alors que celle-ci était naturellement dévolue à Esaü, le premier-né (e). L’alliance avec Dieu se fait donc bien surnaturellement par l’Esprit et non naturellement par la chair, car c’est l’Esprit qui vivifie et non la chair ! (f) Et c’est ainsi que Dieu a aimé Jacob, mais haï Esaü (g), connaissant ce dont ces deux jumeaux sont capables dans son éternel Présent. Autrement dit, selon l’Ancien Testament,  les vrais Juifs, ce ne sont pas ceux qui descendent d’Abraham par la chair et qui ont été circoncis (h), mais ceux qui sont unis par la foi en la divine Promesse de Dieu faite à Abraham ou par la foi au Christ (i). Il s’agit donc bien d’une descendance spirituelle reposant sur la foi et non d’une descendance purement charnelle reposant sur une loi qui n’était que « l’ombre des biens à venir » (j). Ismaël figure manifestement la Synagogue des Juifs (k) et Isaac l’Église de Jésus-Christ, comme Esaü, le premier né, figure également le peuple juif de la première alliance, et Jacob, le cadet, l’Église composée de Juifs et de Gentils revêtus du Christ par la grâce de leur baptême, et radicalement et originellement de Juifs (l) avec les Patriarches et les Prophètes, avec saint Jean-Baptiste, Jésus, la bienheureuse Vierge Marie, saint Joseph, les Apôtres et les Évangélistes, constituant le tronc de l’Église, le Salut venant des Juifs par le Christ (m). Toute personne sans parti pris ou sans œillères qui aura pris la peine de consulter attentivement et de méditer longuement les versets auxquels nous nous référons, finira, non, il est vrai, sans l’aide de la grâce, par reconnaître que la Nouvelle Alliance est la seule qui conduit logiquement et inéluctablement l’ancienne à son achèvement parfait. Nous conclurons cette note en citant les versets 21 à 31 du chapitre IV de l’Épître de l’apôtre saint Paul aux Galates, écrivant : « Dites-moi, vous qui voulez être sous la Loi, n’entendez-vous pas la Loi ? Car il est écrit qu’Abraham eut deux fils, l’un de la servante, l’autre de la femme libre. Mais le fils de la servante naquit selon la chair, et celui de la femme libre en vertu de la promesse. Ces choses ont un sens allégorique ; car ces femmes sont deux alliances. L’une du mont Sinaï, enfantant pour la servitude : c’est Agar, - car Sinaï est une montagne en Arabie, - elle correspond à la Jérusalem actuelle, laquelle est esclave, elle et ses enfants. Mais la Jérusalem d’en haut est libre : c’est elle qui est notre mère ; car il est écrit : “ Loue le Seigneur, stérile, qui n’enfantes pas ;chante sa louange, et pousse des cris de joie, toi qui n’enfantais pas : parce que les fils de la délaissée seront plus nombreux que les fils de celle qui a un mari, dit le Seigneur (n).” Pour vous, frères, vous êtes, à la manière d’Isaac, enfants de la promesse. Mais de même qu’alors celui qui était né selon la chair persécutait celui qui était né selon l’Esprit, ainsi en est-il encore maintenant. Mais que dit l’Ecriture ? “ Chasse l’esclave et son fils, car le fils de l’esclave ne saurait hériter avec le fils de la femme libre (o) ”. C’est pourquoi, frères, nous ne sommes pas enfants de la servante, mais de la femme libre. »

 

a) Épître de saint Paul aux Hébreux, VII, 18 et 22 : « Ainsi, a été abrogée la première ordonnance, à cause de son impuissance et de son inutilité, - car la Loi n’a rien amené à la perfection […] Jésus est par cela même le garant d’une alliance supérieure. » S. Matthieu, XXVI, 28 : « Voici le calice de mon sang, le sang de la nouvelle alliance, qui sera répandu pour vous et pour plusieurs en rémission de leurs péchés. » (Cf. également S. Marc, XIV, 24 ; S. Luc, XXII, 29.)

 

b) Cf. Genèse, XII, 1-3.

 

c) Nous rappellerons à cette occasion que les musulmans, selon la sourate 19 du Coran, sourate dite de Marie (c’), verset 55, se considèrent comme les enfants de la promesse, ce qui constitue une erreur théologique capitale qui s’oppose et au peuple d’Israël et aux chrétiens ou à l’Ancien et au Nouveau Testament, c’est-à-dire à la Bible où il n’y a rien qui ne soit inspiré de Dieu - d’où une erreur double (voire « au carré »).

c’) Sourate où Marie, sœur de Moïse et d’Aaron, est confondue avec la mère de Jésus ; et, selon la sourate 3 de la famille d’Imrân, où Zacharie, le père de Jean-Baptiste, est confondu avec saint Joseph, l’époux de la Mère de Dieu, mère que le verset 35 considère comme stérile, et où Imrân, l’époux d’Anne, le père de la Vierge Marie, d’après les Musulmans, est aussi le nom du père de Moïse et d’Aaron – ce qui montre bien que l’auteur (ou les auteurs) du Coran n’a jamais eu entre les mains le texte de l’Ancien et du Nouveau Testament, véritable méli-mélo qui nous prouve, une fois de plus, que ce livre n’a assurément pas sa source en Dieu quoiqu’il le soutienne (cf. 13 : 39 et 43 : 3).

 

d) Cf. Genèse, XVII, 15-21 ; XXI, 1-13.

 

e) Cf. Genèse, XXV, 19-26

 

f) Cf. S. Jean, VI, 63 ; S. Luc, III, 8 ; S. Matthieu, III, 9.

 

g) Cf. Malachie, I, 2.

 

 

SUITE II/VI EN CLIQUANT SUR :

 

COLLUSION DE L’ÉGLISE CONCILIAIRE AVEC LE B’NAÏ B’RITH - TALMUDISTE (II/VI) - Le Présent éternel

 

 

 

 

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