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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 17:35

 

1) Eliphas Lévi,  Dogmes et rituel,  p. 93 ; 1861.

2) Histoire de la magie, p. 28. Eliphas Lévi, cabaliste éminent.

 

NOTE

 

« Les premières éditions du Talmud offrent le texte de ce code dans toute son intégrité, comme celles de Cracovie, de Venise en 1520 ; d'Amsterdam, 1600, in-fol., petit format. Il faut recourir à la grande table rabbinique de Venise, en quatre volumes imprimes chez M. Boinberg, pour trouver les passages hostiles des commentateurs bibliques dirigés contre les chrétiens. »

« Quelques-unes de ses maximes que je vais indiquer ne se trouvent que dans les éditions anciennes que je viens de nommer. Talmud, traités Gnaboda-Zara, fol., 4 v°, in Thocephot ; fol. 10 v°, ib., fol. 26, v°, Sanhédrin ; fol. 57 r°, Horiot, etc., etc. »

Maïmonides, traités De l'homicide, ch. IV, § 10 ; De l'idolâtrie, ch. X, § 4 ; Des docteurs rebelles, ch. III, § 1, etc.; De la royauté, ch. IX, § 2, etc., etc., etc. Drach, Deuxième lettre, pp. 300-301 ; 1827.

Dans l'édition du Talmud de Froben, imprimeur de Bâle, exécutée en 1581, les censeurs Marcus Marinus, Italus Braxensis, Petrus Cavallerius, supprimèrent les principaux passages qui attaquent la mémoire de notre Sauveur, où les chrétiens sont représentés « comme adonnés aux vices les plus abominables, et où il est déclaré que les préceptes de justice, d'équité, de charité envers le prochain, non-seulement ne leur sont point applicables, mais sont un crime. » Quelque temps après ces suppressions, les Juifs crurent devoir les rétablir dans une édition de Cracovie ; mais ces passages réintégrés ayant soulevé l'indignation des hébraïsants chrétiens, le synode juif, réuni dans la Pologne en 1631 en prescrivit lui-même le retranchement dans les éditions futures, et voici le texte de son encyclique « C'est pourquoi nous enjoignons, sous peine d'excommunication majeure, de ne rien imprimer dans les éditions à venir de la Mischna ou de la Ghemara, qui ait rapport, en bien ou en mal, aux actes de Jésus le Nazaréen. Nous enjoignons, en conséquence, de laisser en blanc les endroits qui ont trait à Jésus le Nazaréen. Un cercle comme celui-ci : 0, mis à la place, avertira les rabbins et les maîtres d'école d'enseigner à la jeunesse ces passages de vive voix seulement. Au moyen de cette précaution, les savants d'entre les nazaréens (chrétiens) n'auront plus de prétexte de nous attaquer à ce sujet. » Drach, Harmonie, t. Ier, p. 167-168.

 

AVIS AU LECTEUR

 

Le chapitre de la Cabale devrait suivre celui-ci mais afin de relier plus directement au Talmud les pages où se déroule la morale talmudique, nous rejetons à la fin du volume, et sous forme d'appendice, cette inléressante question. Nous prions cependant le lecteur d'accepter, sous bénéfice d'inventaire, les quelques lignes que nous en devons extraire pour jeter un rayon de lumière sur les voies où nous l'engageons.

La Caba!e sinistre enfanta le culte des astres et de leurs génies, le sabéisme, l'astrologie, la magie. Elle exista bien avant de recevoir son nom, et avant les Juifs, qui se l'assimilèrent en la modifiant. Aussi le Juif devint-il le prince de la haute hérésie, que les Génies de la cabale infestèrent de leur venin. Les doctrines unitaires de la Cabale préparèrent et préparent l'unification des peuples.

« La doctrine cabalistique, qui est le dogme de la haute magie, est contenue dans le Sepher Jesirah, le Zohar et le Talmud.

« Abraham sortant de la Chaldée avait emporté les mystères de la Cabale. » « Les doctrines mystiques et les pratiques magiques de l'antiquité sont en partie conservées dans la Cabale, dont les livres étaient auprès des adeptes en aussi grand honneur que les livres d'Hermès Trismégiste. »

« La Cabale est la mère des sciences occultes, et les gnosticiens sont nés des cabalistes. » « La Cabale, cultivée par les Juifs avec une ardeur sans pareille, effaçait presque à elle seule toutes les autres sociétés secrètes. »

Il existe « une vérité incontestable », c'est qu'il est « une haute science, une science absolue, etc. » Or, ( cette science, c'est la magie, dont la cabale est le dogme. » Et « il est certain que les Juifs, dépositaires les plus fidèles des secrets de la Cabale, ont été presque toujours en magie les grands maures du moyen âge. Tout ce qu'il y a de scientifique, de grandiose dans les rêves religieux de tous les illuminés, Swedenborg, etc., etc., est emprunté à la Cabale. Toutes les associations maçonniques lui doivent leurs secrets et leurs symboies. »

Créer une société occulte, de qui émaneraient les rois et les pontifes, ce fut « le rêve des sectes dissidentes de gnostiques et d'illuminés qui prétendaient rattacher la foi à la tradition primitive ». Cette idée devint une menace pour la société, quand un ordre riche et dissolu, initié aux mystérieuses doctrines de la Cabale, menaça le monde d'une immense révolution. Les Templiers, dont l'histoire est si mal connue, furent ces conspirateurs terribles. La philosophie occulte de la magie « voilée sous le nom de Cabale, est indiquée dans tous les hiéroglyphes sacrés des anciens sanctuaires et des rites encore si peu connus de la maçonnerie ANCIENNE et moderne. »

« La grande association kabalistique connue en Europe sous le nom de maçonnerie, apparaît tout à coup dans le monde au moment où la protestation contre l'Eglise vient démembrer l'unité chrétienne. » Les chefs de cette association « tolèrent toutes les croyances, et ne professent qu'une seule philosophie. Ils ne cherchent que la vérité. et veulent amener progressivement toutes les intelligences à la Raison, »

Certains coryphées du Judaïsme professent ouvertement cette philosophie, qui corrompt et rapproche d'eux le monde chrétien. Les Cabalistes appellent les Juifs nos pères dans la foi, et leurs chefs sont les chefs de « la grande association cabalistique connue en Europe sous le nom de maçonnerie. » Dans le chapitre de la Cabale, nous nommons les auteurs de ces citations, qui figurent presque tous parmi les ennemis déclarés du catholicisme.

 

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TROISIÈME DIVISION. — LA MORALE DU TALMUD EN ACTION

LE PROCHAIN DU JUIF.

 

Est-il un homme qui soit sans prochain ? — Oui, le Juif orthodoxe. — Hors le Juif, tout autre homme ne doit être à ses yeux qu'une brute. — S'il le tue, il ne tue qu'une bête. Mots de saint Epiphane, Père de J'Eglise, et de M. Michetet. — Explication de ce mot : Défense aux Juifs et aux cochons d'entrer ici. — Faiblesses et passions du Juif provoquées contre tout étranger à sa foi par ses croyances talmudiques. — Exemples. — Jusqu'où va cette haine du Juif, et surtout contre le chrétien. — Voler et tuer le chrétien n'est donc pas un mal au contraire. — Nombre des malfaiteurs bien plus considérable chez les Juifs que chez les chrétiens. — Différents pays, différents exemples. — Puissance et universalité de leurs moyens de malfaisance. — Leur alfreuse et homicide cupidité à l'endroit de l'armée française dans la désastreuse campagne de Russie. — Reconnaissance implicite de l'infériorité morale du Juif, dans des publications judaïques. — Leur malfaisance a été de tous les temps, depuis le règne des traditions rabbiniques ; elle les fait ranger dans « le rebut des peuples » dès le règne de Vespasien. — Conclusion. — Notes. — Leur terreur de l'opinon.

 

Nous avons demandé tout à l'heure au Talmud ce que c'est que la femme du talmudisant. Peut-être ia réponse que les faits ont donnée nous mettra-t-elle-en appétit de savoir quel est son prochain ! Mais le Juif a-t-il un prochain ? Qui sait ? Nous nous poserons donc en ces termes cette singulière question :

Est-il un homme, en ce monde, qui puisse se lever et nous dire Moi, je suis sans prochain ! je n'en ai pas ; et, le droit, le devoir de n'en point avoir, je le puise dans ma loi religieuse ! — Oui, si la loi terrible qui tient et gouverne la conscience des fils de Jacob doit être prise au sérieux, il existe, cet homme ; mais il est unique au monde, et c'est le Juif ! Expliquons-nous : c'est l'homme de la pure orthodoxie talmudique ; c'est-à-dire un être qui n'est créé que pour lui-même. Hormis son semblable, hormis son frère de race et de foi, toute créature humaine lui est donc étrangère, perd à ses yeux son espèce, cesse d'être homme, et, devenant brute, tombe dans son estime au-dessous de sa propre femelle, celle que nous venons de le voir assimiler à la viande de boucherie qu'il a payée deniers comptants (1).

Dans l'esprit de la famille judaïque, qu'est-ce donc que le reste des hommes ? — Réponse. On lit dans le Talmud : « Descendants d'Abraham, le Seigneur vous a désignés par la bouche d'Ezéchiel ; vous êtes mon troupeau, c'est-à-dire vous êtes des hommes, tandis que les autres peuples du monde ne sont pas des des hommes, ce sont des bêtes (2). Bobba-Bar-Abuha trouva, par exemple, le prophète Elie dans un cimetière de Goyim, — c'est-à-dire de non-Juifs, — et lui dit : Comment vous trouvez-vous dans un cimetière ? Mais E!ie de lui répondre : Et vous, n'avez-vous point appris la loi des purifications ? car elle porte cette décision : Les tombeaux des Goyim ne souillent point, puisque le Seigneur a dit à Israël : Vous êtes les brebis de mon pâturage, vous avez la qualité d'hommes, tandis que les nations du monde n'ont que la qualité de brute (3). »

 

1) Que si nous usons de ce terme, femelle, c'est que, lecture faite de nos pages sur la femme dans le judaïsme, ce serait insulter à l'orthodoxie du talmud que de lui donner pour égale la Juive, cette esclave, cette créature avilie que rapproche de sa personne un de ces faux mariages dont le fantôme s'évanouit devant une fantaisie de divorce ; aussi n'oserions-nous, sans son agrément, nous permettre de l’appeler sa compagne, ou sa femme.

2) Bartolocci, part. III,  p. 555.

3) Talmud, traité Baba-Metsigna, fol. 114 recto, édit. Amsterdam, 1645. —  Id., Prompta Biblioth. de Ferrari, t. III, ord. IV, tract. 8. Laurent, Affaires de Syrie, t. II,  p. 395 ; Paris, 1846.

 

Rabbi-Schila tombe sur un homme qui se permet des assiduités avec une femme non Juive, et le flagelle. Cet homme porte plainte devant l'autorité, mais le flagellant répond : Ce misérable vient de s'oublier « avec une ânesse (1) ».

Est-ce que celle qui n'est point issue du sang d'Abraham est une femme ? Est-ce qu'elle n'est point une brute ? Or, comment traiter celui qui, s'oubliant avec elle, descend par cela même jusqu'à la bête ?

Le célèbre Rabbi-Menahhem insiste, dans « plusieurs endroits de ses ouvrages, sur ce principe, que la qualité d'homme n'appartient qu'aux Juifs » ; et l'infaillible Maïmonides établit, dans son Traité de l'homicide, que, lorsqu'un Israélite tue même un prosélyte-habitant, le tribunal juif « ne peut le condamner ». La loi du meurtrier frappe en effet « celui qui s'élève contre son prochain ; mais celui-ci n'est pas son prochain. Il est donc superflu de dire qu'on ne peut condamner un israélite pour avoir tué un non-Juif (2) » (Goï).

Un Noachide, — c'est-à-dire un simple individu vivant d'après les préceptes du juste Noé,  mais étranger à la race d'Abraham, — s'il tue un autre Noachide et qu'il se fasse prosélyte judaïque avant cet acte, « n'est passible d'aucune peine ; mais a-t-il tué un Israélite, et ne s'est-il fait prosélyte qu'après cela, qu'il soit mis a mort (3). »

À plus forte raison, s'il est chrétien, doit-il en être ainsi, car « il est ordonné aux Juifs de ne voir dans les chrétiens que des brutes, et de les traiter comme de vils animaux (4). »

 

1) Talmud, traité Barakouth, fol. 88, recto. Laurent, ib., t. II, p. 373.

2) Laurent, t. II, chap. II, art. 11 (?), pp. 374-5. — Lire id., Rohrbacher, Histoire universelle de l'Église, t. XV, p. 483, etc. ; Paris, 1851.

3) Talmud, Sanhédrin, foL71 verso. Laurent, t. II, p. 375. — Lire ibid., L’Eglise et la Synagogue, pp. 26 à 50, etc. ; Paris, 1859.

4) L. Ferrari, Prompta biblioth., ord. 4 ; tract. 8 ; Laurent, ibid., t. II, p. 395, Syrie.

 

 SUITE VII/X EN CLIQUANT SUR :

 

LA VÉRITÉ SUR L’EXÉCRABLE TALMUD A.M.D.G. (VII/X) - Le Présent éternel

 

 

 

 

 

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