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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 17:37

 

 

1) Bibl. PP., t. XXII, p. 1004.

2) Rohrbacher, Histoire universelle de l'Église, t. XV, pp. 481–482 ; 1851.

3) Drach, première lettre, p. 74 ; 1825.– Une note qui suit l'évangile apocryphe de Thomas l'Israélite rapporte un des contes monstrueux des rabbins. « Cette anecdote, est-il dit, est peu de chose à côte d’une foule d'autres que contiennent les écrits des rabbins. » Lire, pour s'en convaincre, la Bibliotheca rabbinica, Rome, 1675-1693, 4 vol. in-fol., du dominicain Bartolocci, qui a étudié à fond ces volumineux écrits, et la Bibliotheca latina et hébraïca, etc., de Jo. Imbonati, 1694 : « Nous avons parcouru ce vaste répertoire, et nous y avons trouvé des contes dignes des Mille et une nuits, et parfois d'une extrême indécence. » P. 170, ib., fables absurdes, livre d'Enoch, 343. id., Évangiles apocryphes, trad. d'après l'édition de G. Thilo, par G. Brunet, deuxième édition, augmentée ; Paris, 1863.

 

Et si nous ne repoussons point l'une de nos autorités les plus sûres, celle de l'ancien et savant rabbin Drach, dont la parole a multiplié les preuves de la prodigieuse ignorance de ces docteurs, nous saurons que presque tous les guides d'Israël bornent leurs études au fatras de cette effroyablethéologie (1) !

Or, l'homme agit en toutes choses d'après sa croyance. Ce qu'il croit avec sincérité passe, au jour le jour, et souvent même à son insu, dans ses actes. La foi d'un croyant est donc la raison de ses mœurs, et la source de sa morale ; ou bien, en d'autres termes, ses mœurs sont l'expression de sa foi ; d'où l'on dira, sans possibilité d'erreur, que, chez tout peuple religieux, tant vaut la moyenne de la foi, tant vaut la moyenne des fidèles ! Chez les Juifs, où pendant une longue suite de siècles la foi et la loi ne furent qu'une seule et même chose ; chez ce peuple qui ne vivait que par sa religion, le Talmud fut donc le provocateur suprême des mœurs les plus antisociales, et l'inspirateur de la haine la plus forcenée de tout hébraïsant contre tout chrétien. Voiler la scélératesse et les turpitudes de ses préceptes religieux, les masquer, mais sans en supprimer l'enseignement ; en un mot les soustraire à l'œil curieux des profanes, telle fut en conséquence la préoccupation du Juif, aussitôt que, du sein des peuples qui l'hébergeaient, des cris d'horreur et d'exécration retentirent avec un formidable ensemble contre sa foi. Certains textes disparurent alors de ce code monstrueux, et cessèrent d'être livrés à la circulation ; mais, dans la crainte que le monde n'eût à gémir d'une telle perte, les rabbins se hâtèrent de confier à la mémoire les passages qui les eussent compromis, et les leçons orales remplacèrent la lettre supprimée.

« Il est de notre devoir, avait donc écrit le savant orientaliste que nous avons si longtemps fréquenté, de faire connaître les maximes intolérantes, inhumaines (2) que les rabbins professent à l'égard des Juifs convertis, des chrétiens, des payens et des Juifs qui trahissent les secrets de la Synagogue ; c'est-à-dire de prouver par des textes formels la fausseté de la quatrième décision du sanhédrin de 1807, sans préjudice de ce que j'aurais à dire relativement à ses autres décisions !

 

1) Ib., lettre première, p. 83 ; 1825.

2) Et dont il fut lui-même un cruel exemple en 1823.

 

Mais la charité chrétienne me défend de publier, si ce n'est en cas de nécessité absolue, la traduction des passages révoltants que je pourrais citer dans cette note. Je me bornerai à en indiquer une partie à ceux de mes frères qui les ignorent, et qui savent assez la langue rabbinique pour les lire dans les livres originaux. »

Car, le Talmud et les autres ouvrages des rabbins contiennent une foule d'horreurs et de recommandations détestables contre les chrétiens et le christianisme. Mais « depuis que la connaissance de la langue hébraïque s'est répandue en Europe, les imprimeurs juifs ont pris la précaution de supprimertous cespassades en laissant, des lacunes à leur place. Ils substituent des noms quelconques a ceux de Minim, Goyim nohhrim (chrétiens), Meschoummedim, Moumrim (Juifs baptisés) », et pour remédier à ces lacunes « ils enseignent verbalement ce qu'elles indiquent et rectifient les mots changés à dessein. Quelquefois aussi ils rétablissent à la main dans leurs exemplaires les suppressions et les corrections politiques des auteurs juifs. Ce dernier cas est arrivé dans l'exemplaire du Talmud que je possède. Helvicus raconte dans son traité sur les paraphrases des Bibles chaldéennes, p. 10, qu'il avait un Talmud dont un Juif s'était servi avant lui et dans lequel toutes ces corrections étaient faites à la plume. »

« D'un autre côté, l'extrême rareté et peut-être la perte irréparable dé plusieurs livres anciens, assez connus par leurs passages favorables au christianisme, a donné lieu à l'accusation de mauvaise foi contre les rabbins. Je regrette de déclarer que cette accusation est fondée et c'est une chose connue dans notre nation qu'ils ont fait disparaître (ganezou) des livres qui contredisaient leur doctrine (1). »

 

1) Parmi ceux-ci, le Targum, dont ces passages cités par des orientalistes qui les y ont lus : « Jéhova m'a dit : Tu est mon Fils. Ces deux, Père et Fils, sont trois, en union avec une troisième personne, et ces trois ne font qu’une substance, qu’une essence, qu’un Dieu. » Ps. 2, etc., deuxième lettre, Drach, 1827, p. 263.

Les Juifs modernes se regardent comme les seuls monothéistes et nous accusent d'adorer plusieurs dieus à cause de ce dogme de la sainte Trinité. Voir comment, dans l'ancienne loi, leurs pères adoraient, dès les temps les plus reculés, ce Dieu en trois personnes. Harmonie entre l' Église et la Synagogue, t. Ier, pp.  280, 285, 368, 453, etc.

Aussi, « quelques rabbins en traitant de la Trinité divine, s’exprimaient d’une manière si orthodoxe qu’ils ne laissent rien à désirer au théologien le plus scrupuleux sur les termes. » Ib., p. 280 ; Paris,1844.

 

Ce serait donc bien à tort que les avocats mal inspirés de la race juive nous diraient « Si on rejette les Israélites comme Juifs, on les punit d'être nés dans une religion plutôt que dans une autre ; c'est une infraction manifeste à toutes les lois humaines et positives (1). » Non, d'abord ; car appliquer à ceux qui se donnent pour sectateurs de la loi de Moïse la loi du talion (2) se placer sur le terrain de leur propre justice et tourner contre eux-mêmes leur code religieux qui est le Talmud ce serait les traiter d'après la règle qui les dirige à notre égard. Non, derechef ; car, nous proposer l'adoption des Juifs, sans se soucier s'ils persistent ou non « dans les pratiques superstitieuses que les rabbins ont ajoutées aux prescriptions de Moïse (3), » lorsque ces superstitions abrutissantes sont homicides, ce serait nous proposer d'introduire la plante vénéneuse dans le froment du père de famille et souiller le champ de la civilisation.

C'est pourquoi naguère, dans une assemblée qui prend à tâche la régénération du judaïsme, un Israélite, frappé de ces considérations dont l'évidence commence à saisir les esprits clairvoyants, s'écriait devant M. Cerfberr : « Il faut nous hâter de sortir du vieux temple ; – c'est-à-dire, pour les Juifs modernes, du temple talmudique, si nous ne voulons bientôt être ensevelis sous ses ruines (4). »

 

1) Des Juifs au dix-neuvième siècle, p. 16, par M. Bail, ancien inspecteur, etc. Seconde édition, Paris, 1816, in-8°.

2) Bible, Exode, chap. XXI, p. 24, etc.

3) Th. Hallez, DesJuifs en France, pp. 5-6 ; Paris, 1845.

4) Les Juifs, leur histoire, etc., p. 12 ; Paris, 1847.

 

C'est encore pourquoi, de nos jours, l'un des coryphées de l'école des philosophes publicistes, Kluber, exige du Juif, avant de permettre à la société civile et politique de lui conférer le rang de citoyen, des conditions que la plupart de nos contemporains regarderaient comme les exigences insultantes d'un inquisiteur, si quelque catholique osait les formuler. Il veut, et nous reproduisons ses termes, « l'abjuration libre, authentique et irrévocable, le rejet, la détestation du talmudisme et de tout ce que le gouvernement déclarera ne pouvoir se concilier dans le judaïsme avec le bien général d'un État dont le pouvoir suprêmene serait pas entre les mains des Juifs (1). »

 

1) Droit de la Confédération germanique, 4e édition, § 516, note IV. «  Laissons dire, à ce propos, à ce propose à l’ancien rabbin Drach que l'ouvrage de M. Beugnot, les Juifs d'Occident, mérite les reproches les plus graves… » Lire pp. 208 et suivantes, Lettres de 1827, p. 278.

 

Et veuillons observer que les Juifs commencent à se former, sous nos yeux, en trois catégories distinctes les indifférents, les réformés, c'est-à-dire les sectateurs d'un véritable protestantisme judaïque, et les talmudistes ; mais nous ne saurions assez arrêter l'attention publique sur ce point, que ceux-ci continuent de former dans le monde entier l'immense majorité du peuple de la dispersion. Or, « les talmudistes, composés de la vieille génération, des gens de la campagne, et de ceux de la plus basse classe des villes, reconnaissent l'autorité religieuse des rabbins et l'autorité législative du Talmud ; ils observent scrupuleusement non pas la loi mosaïque, mais la loi rabbinique ; ils ne se mêlent aux chrétiens que pour leurs affaires d'intérêt, et continuent à être les ennemis traditionnels de l'Église. C'est là le noyau indestructible de la nation qui subsistera jusqu'à la fin dans son entêtement. »

Cette époque de la fin des temps peut être assez proche de nous, et de très longue durée. Sachons toutefois qu'il s'est formé pour l'Allemagne, dès l'année 1831 une association de juifs et de chrétiens dont le but est de fonder la civilisation religieuse, morale et sociale des Israélites ; et le rapport de cette association, qui ne saurait être suspecte, nous offre un passage sur lequel s'appuient fortement nos paroles : « Tant que les Juifs resteront Juifs, leur émancipation sera généralement impossible (1) ! » Car le Talmud, la loi qui gouverne la conscience du Juif orthodoxe, est la mort de la civilisation chrétienne. La grande question se réduit donc à se demander quand périra le Talmud, c'est-à-dire quand sera reconstruite sur un autre plan la conscience du Juifjudaïsant, puisque seulement alors disparaîtra le Juif insociable ?

Que cependant les avocats maladroits de la nation juive cessent d'attribuer à une époque de ténèbres universelles l'amour et l'admiration d'Israël pour le fatras de sa théologie. Parler ainsi ce serait être soi-même sous l'empire d'épaisses ténèbres, ou ce serait prétendre donner le change à son siècle ; car la glorification du code talmudique est, de la part des Juifs, un fait de toutes les époques ; car, jusqu'à nos jours, la doctrine talmudique conserva jalousement un nombre considérable de préceptes dignes d'attirer sur elles la colère et le mépris de tout honnête homme ! Et le Talmud, « ce code impérissable de la nation juive, dont les pages ont de redoutables sous-entendus, le Talmud, répétons-le sans cesse, est non point une œuvre théologique que la Synagogue puisse impunément rejeter, il est l'expression même de la synagogue rabbinique ; il écrase Moïse ; il domine Dieu jusque dans le ciel ; il est la loi suprême, la loi civile et religieuse du Juif ; il le fut dès que l'esprit de haine et de mensonge le mit au jour. Hélas! il n'a cessé de l'être aujourd'hui même pour aucun homme du judaïsme qui prétend à l'orthodoxie que suivaient ses pères (2) !

 

1) Encyclopédie catholique allemande, par plus savants professeurs et docteurs en théologie de l'Allemagne, traduite par Goschler, t. XII, pp. 452-453, Paris, 1861 ; la citation précédente, ib.

2) Lire ces essais de justification dans Bédarride,  p. 496, et relire sa p. 39.

 

Tout à l'heure nous jetterons les yeux sur quelques points de la morale en action du judaïsme ; car elle est déduite de la doctrine orthodoxe du Talmud, elle est le Talmud à l'œuvre et produisant ses fruits de mort. Nous comprendrons alors de mieux en mieux l'importance des suppressions que les chefs du rabbinisme prescrivirent aux imprimeurs des livres dogmatiques que leur foi défaillante commence à réformer. Terminons cependant notre chapitre du Talmud par cette assertion de l'un de ses plus grands admirateurs (1) :

« La doctrine cabalistique, qui est le dogme de la haute magie, est contenue dans le Sepher-Jesirah, le Zohar et le Talmud (2). » II nous faut donc aller chercher dans les ténèbres honteuses et malsaines de la magie les racines vénéneuses de cette œuvre talmudique à laquelle, depuis le Christ, tous les siècles trouvèrent le cœur du Juif attaché ; et de cette nécessité naîtra notre chapitre de la Cabale.

Les Juifs talmudisants forment « l'indestructible noyau de la nation » et le Talmud est la loi suprême du Juif, la source de sa foi, de ses sentiments, la règle de ses mœurs. C'est pourquoi, jusqu'au jour où le Talmud sera détruit, le Juif sera un être insociable. En d'autres termes, un duel à mort, et dont l'issue ne saurait être lointaine, subsiste entre le Juif talmudisant et la société chrétienne ; entre le judaïsant et les hommes de la seule et unique civilisation qu'il soit possible au monde de produire, si l'expérience et la raison nous tiennent un langage véridique.

 

 SUITE VI/X EN CLIQUANT SUR :

 

LA VÉRITÉ SUR L’EXÉCRABLE TALMUD A.M.D.G. (VI/X) - Le Présent éternel

 

 

 

 

 

 

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