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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 17:49

LA VÉRITÉ SUR L’EXÉCRABLE TALMUD A.M.D.G. (I/X)

 

ftp://ftp.bnf.fr/011/N0114558_PDF_1_-1DM.pdf

 

 

« Le Juif, le Judaïsme et la Judaïsation des peuples chrétiens », par le Chevalier Goudenot de Mousseaux, Paris, Plon, Imprimeurs et Éditeurs, 1869 :

 

Le Juif ? le Juif, osons-nous dire, en provoquant des tourbes judaïques à faire retentir mille cris aigus autour de ce nom que répudient avec une sorte de fureur les fils de Benjamin et de Juda, honteux sans doute des taches dont il fut couvert. Et cependant le respect que nous devons à l'histoire nous ordonne de le conserver et de rejeter celui d'Israël ; mais en protestant avec énergie contre toute intention blessante et hostile, simplement résolu que nous sommes de laisser à chaque personne et à chaque chose son titre historique et légitime (1).

[…] Que si le tour de notre phrase semble quelquefois nous démentir et trahir notre volonté, nous supplions le lecteur de vouloir bien résister fortement aux apparences, ou nous redresser, car nos intentions restent debout. Quiconque y regardera de près verra d'ailleurs que nous n'attribuons à ceux que notre parole atteint rien qu'ils ne se soient eux-mêmes attribués, rien de se qu’ils s’attribuent les uns aux autres, rien au-delà de ce que leur attribuèrent des publicistes qui prirent devant le public la responsabilité de leurs paroles ; et ceci pour la plupart, sont issus de sang judaïque. De temps en temps, il est vrai, nos armes portent des coups sensibles et quelquefois terribles. Oui, sans doute, mais, on voudra bien le remarquer, ces coups ne sont portés que dans les rencontres où l'homme de la civilisation ne doit reculer devant aucune lutte pour en soutenir les principes et les bienfaits contre ses plus habiles et ses plus implacables agresseurs.

[…] C’est là pourtant ce que le Juif, qui commence à prendre son nom pour une insulte, ne veut tolérer à aucun prix ; et chaque jour il devient, en quelque lieu du monde que vous frôliez sa personne, plus chatouilleux et plus rogue, plus dominateur et plus prompt au défi. Déjà même, au nom de cette liberté des cultes dont sa bouche fait un si étrange et audacieux abus, défense au chrétien non seulement de lutter contre ses prétentions, mais de s'occuper des fils de Jacob, si ce n'est pour leur offrir l'or et l'encens. Un incident vraiment incroyable va nous montrer à ce propos ce que deviendra notre liberté devant le Juif ; disons mieux, ce que sera sur la terre de France la simple liberté de la parole et de l'histoire, si l'arrogance judaïque n'y rencontre quelque éclatant échec.

[…] Le Juif cependant, lors d’une qualification spéciale ne modifiera pas notre sens, ce sera pour nous non pas tout rejeton quelconque de la race de Juda, mais l'homme de l'orthodoxie pharisaïque, le fidèle des sauvages et des insociables traditions du Talmud ; s'agirat-il, au contraire, de tout autre membre de la famille judaïque, le nom de Juif ne le désignera dans nos pages que lorsque nous l'attacherons à sa personne en termes exprès ; que lorsque nous dirons, par exemple, le Juif de l'orthodoxie bâtarde, le Juif réformiste, le Juif de la libre pensée. En un mot, nos formelles intentions sont de ne comprendre sous le nom pur et simple du Juif que le pur sectateur du Talmud (2)

 

1) Tout Juif descend d'Israël, c'est-à-dire de Jacob ; mais l'histoire, en parlant des fils de ce patriarche qui peuplent l'Occident, ne leur a point donné le nom d'Israélites, et pourquoi ? Parce que l'histoire parle vrai. Elle les a nommés Juifs, du mot latin Judaei, parce que le patriarche Juda, fils de Jacob, fut leur père, et qu'ils sont les dispersés du royaume de Juda. Mais que sont devenus les Israélites, c'est-à-dire le mélange hétérogène des dix tribus et des étrangers dont se formait le royaume d'Israël ? Grande question, qui, tant a Genève qu'ailleurs, occupe quelques savants du catholicisme, entre autres M. le marquis de *c*. Nous supplions cependant le Juif de ne point voir une insulte dans ce nom contre lequel son orgueil se soulève, car nous parlons, en le conservant, le langage que doit à jamais consacrer l'histoire. — Voir la joie sauvage des Archives à propos de la condamnation de M. de Villemessant, rédacteur en chef du Figaro, pour avoir donné au mot Juif l'acception blessante que lui valurent les mœurs talmudiques. Arch. israél., XV, p. 469 ; 1869. — Le Normand ou le Gascon auraient-ils, dans un cas analogue, cette maladroite susceptibilité ?

2) Nous admettons, et de tout cœur, jusque dans cette catégorie des purs orthodoxes, des exceptions aussi honorables et aussi nombreuses que la raison du lecteur lui permettra de le faire. Juif ou non, il est impossible en effet de ne se ressentir point du milieu dont l'atmosphère nous pénètre.

 

Causerie

 

[…] Le Juif est donc naturellement, et nous ajoutons qu'il est nécessairement l'âme, le chef, le grand maître réel de la maçonnerie, dont les dignitaires connus ne sont, la plupart du temps, que les chefs trompeurs et trompés de l'ordre.

Au sein de ces hauts et impénétrables conseils de l'occultisme, dont le but spécial est de déchristianiser le monde et de refondre dans un moule unique les institutions de toutes les sociétés humaines le Juif devra donc siéger en majorité ? […] Voilà ce que nous devons dire, et c’est là ce que le monde ignore, ce que les initiateurs lui cachent comme le plus important de leurs mystères ; raison pour laquelle donner au public les preuves matérielles de la suprématie maçonnique du Juif, ce serait tenter à peu près l'impossible. Et nous le reconnaissons avec un empressement d'autant plus vif que les preuves de cette domination judaïque se sont inscrites d'elles-mêmes dans les faits qui sont la richesse de nos pages (2).

 

2) Beaucoup de loges sont ou plutôt étaient fermées au Juif, parce qu'il était impopulaire dans la maçonnerie comme ailleurs. Mais ce qui est vrai pour la plèbe de l'Ordre ne l'est nullement pour ses chefs réels, qui sont les amis, les auxiliaires, les hommes liges du Juif, et qui l'accueillirent toujours en seigneur suzerain.   [Cf. Awad Khoury, la « Force Mystérieuse », et Emmanuel Ratier, « Mystères et secrets du B’naï B’rith » (les « Fils de l’Alliance »), Facta, 1993.]

 

Appuyé que nous sommes d'ailleurs sur la somme de nos recherches, nous accordons, pour notre part, à cette assertion le nom de certitude ; certain sommes nous, en effet, qu'elle fut établie de nos jours par une bouche éminemment véridique, et ce fut celle d'un religieux au lit de la mort. Mourant dans la plénitude de ses facultés, et scrupuleux historien, ce docte personnage énonçait une vérité dont il devait la conquête à ses investigations opiniâtres. Mais peut-être, et nous le croyons, la devait-il plus sûrement encore à la torture de ces remords qui conduisent tant et de si grands coupables devant le tribunal de la pénitence, et qui, par le confessionnal, objet de la juste fureur des ennemis de l'Église, ont sauvé tant de fois les sociétés humaines en guérissant l'âme des individus. Car souvent il arrive que, satisfait d’abriter son nom à l’ombre d'un inviolable mystère, l'homme que le vrai repentir a touché tient à ne point quitter la vie sans réparer ses fautes, et qu'il impose au ministre de l'Église la révélation de secrets dont la connaissance est le salut des États.

Le Juif enfin ne cesse, dans les pages de ses Revues, de se déclarer l'enthousiaste admirateur de tous les révolutionnaires qui troublent et bouleversent le monde, mais surtout de ceux dont la haine inassouvissable menace de la manière la plus directe l'existence de l'Église. Devant ses sympathies ardentes, devant ses implacables doctrines, devant les associations de toute nature destinées à les faire passer de la théorie dans les actes, il faudrait donc être frappé de la plus étrange myopie pour ne point reconnaître dans le Juif le préparateur, le machinateur, l'ingénieur en chef des révolutions. Car elles seules, en déchristianisant le monde, elles seules en le judaïsant, en le transformant à son profit, peuvent conduire le Juif à ses fins ; seul, ici-bas, serait-il assez simple, lorsqu'il veut et se propose une fin, pour en repousser les moyens ?

    Mais ce Juif, dont le nom revient sans cesse sous notre plume, ce n'est pas le premier venu de sa race ; majorité dans sa nation. Il est pour nous l'homme de la foi talmudique, celui que son zèle et que d'implacables rancunes animent contre la civilisation chrétienne ; l'homme actif, sagace et audacieux qui se dévoue au soin de discipliner et de guider le judaïsme militant. Voilà celui que nous combattons, parce que nous le redoutons ; et nos pages ont dit s'il est ou non redoutable ! Mais la terreur légitime que nous éprouvons à son aspect nous est-elle une raison de le couvrir de nos mépris ? Non, s'il n'existe pour les provoquer une cause individuelle et spéciale !

[…] Un milieu regrettable, une éducation viciée, certaines pauvretés d'intelligence, dont rien au monde ne parvient à leur donner le sentiment, les ont faits ce qu'ils sont et ce que tant d'autres fussent devenus à leur place Aussi nous gardons-nous bien de les mépriser ou de les haïr ; et, sauf raison toute particulière, il nous suffit de les plaindre, lors même que nous nous trouvons réduits à les combattre. Ce même mouvement de compassion fraternelle est en vérité le seul que nous inspire celui que nous appelons le Juif ; et nous ne nous lasserons jamais de le redire. Si rudement donc que notre conscience nous oblige à l'attaquer, nous nous reprocherions d'avoir dirigé contre lui nos attaques sans une intention sincère de le servir, et nous le servons en ruinant ses projets car son triomphe serait sa ruine par celle de l'ordre social, dont nous, SOLDAT DU CHRIST, nous sommes par conséquent le soldat [terreur de l’auteur qui le contraint à faire ses révélations avec des précautions de langage afin d’éviter les foudres des instances gouvernementales manifestement assujetties aux talmudistes là où le mépris n’a rien à voir].

[…] Cependant, si de quelque coin de ce judaïsme s'élevait un cri pareil à celui qui retentit et vibre encore contre le sobre et piquant écrivain de la Revue des Deux-Mondes (M. M. du Camp), nous pousserions à l'instant le contre-cri, et la situation deviendrait sérieuse car la guerre serait audacieusement déclarée par le Juif, et dans l'exclusif intérêt de son despotisme, non seulement à la liberté de la discussion, mais à la liberté même de l'histoire. Incapable que serait un écrivain quelconque de lutter, dans son isolement, contre une nation qui possède à elle seule les forces vives de la plupart des nations, et celle de la presse en première ligne, il faudrait, à l'instant même et dans l'intérêt de la publique indépendance, opposer aux associations patentes et latentes du judaïsme la force d'une association contraire. Il faudrait, aux conseils permanents de ses jurisconsultes, opposer la permanence de conseils analogues ; il faudrait, aux journaux de Juda, opposer de distance en distance, sur le sol où nous prétendons marcher d'un pas sûr, un journal dont la spécialité serait de s'occuper de Juda ; il faudrait, et sur-le-champ, en attendant la naissance et succès de ces feuilles, remplir, deux ou trois fois la semaine, de documents et de correspondances étrangères les colonnes spécialisées de deux ou trois journaux, que répéteraient à l'envi les plus proches et les plus lointains échos de la presse populaire. Les réserves de notre portefeuille, en se prêtant aux modifications et aux développements dont les circonstances dicteraient le conseil, y prendraient place en variantes avec un succès proportionnel au tapage des persécutions dont le despotisme envahissant du Juif à l'endroit de la presse non judaïque aurait soulevé la tempête.

[…] Mais Dieu soit loué ! Nous avons parlé trop vite ; et trop vite s'est échappée de notre plume la déclaration des nécessités belliqueuses où nous entraînerait le droit de défense dans un pays hostile à tout despotisme, et où il s'en faut encore que le Juif ait acquis sa suffisance de popularité chez ceux mêmes qui, par aversion pour le catholicisme, patronent les intérêts judaïques. 

 

 

À SUIVRE

 

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