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8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 14:18

KETHUBOTH, 5b :

 

« La question suivante fut posée : Est-il autorisé [ 15 ] d’accomplir le premier acte conjugal le jour du sabbat ? [ 16 ] Est-ce que le sang (qui apparaît dans l’utérus) est considéré comme à sa place naturelle [ 17 ], ou bien est-il considéré comme le résultat d’une blessure ? [ 18 ]

 

KETHUBOTH, 10a-10b :

 

« Un homme se présenta à Rabban Gamaliel, le fils de Rabbi, (et) il dit : “Maître, j’ai eu un rapport (avec ma nouvelle femme) et je n’ai pas trouvé de sang. Elle (la femme) : “Maître, je suis vierge”. Il leur dit : “Amenez-moi deux servantes, l’une vierge, et l’autre qui a eu un rapport sexuel avec un homme. Ils lui amenèrent (les deux servantes), et ils les fit s’asseoir sur un tonneau de vin. Pour celle qui n’était plus vierge, l’odeur [ 1 ] passait au travers [ 2 ] ; pour celle qui était vierge, l’odeur ne passait pas au travers [ 3 ]. Il fit (ensuite) asseoir celle-ci (la jeune épouse) aussi (sur le tonneau), et l’odeur [ 4 ] ne passait pas à travers elle[37]. Il [ 5 ] dit à l’homme [ 6 ] : “Va, (Page 39) et sois heureux dans ton union”. [ 7 ] Mais il aurait dû examiner la femme tout au début. [ 8 ]

 

KETHUBOTH, 11a-11b :

 

« Rabba a dit que ça voulait dire ceci [ 5 ] : “Quand un homme adulte a des rapports avec une petite fille, ce n’est rien, car quand la fille est plus petite que dans ce cas là [ 6 ], c’est comme si on lui mettait le doigt dans l’œil [ 7 ] ; mais quand un petit garçon a des rapports avec une femme adulte, c’est un cas équivalent à celui où “ une fille est pénétrée par un morceau de bois”.

 

KETHUBOTH, 11a-11b :

 

« Rab Judah a dit que Rab avait dit : “Un petit garçon qui a des rapports avec une femme adulte la rend comme si elle était pénétrée par un morceau de bois. [ 1 ]”

 

HAYORATH, 4a :

 

« Ce qu’on a appris : “La loi concernant la femme qui a ses règles se trouve dans la Torah [1], mais si un homme a des rapports sexuels avec une femme qui attends pendant tout un jour, entre le lever et le coucher du soleil, il est exempté de suivre cette loi”. Mais pourquoi [2] (Car la loi concernant) la femme qui a ses règles est à coup sûr mentionnée dans les Écritures : “Il a découvert son flux avec sa nudité...” ; à coup sûr, cela est écrit ! – Ils ont sûrement légiféré que par les voies naturelles, même la première étape des rapports est interdite, mais que par les voies qui ne sont pas naturelles la première étape peut se faire (c’est à dire que cette législation le permettrait)

[3] ; certains pensent qu’on peut même l’autoriser [4] par les voies naturelles [5], prétextant que (l’interdiction de) la première étape [6] ne concerne que la femme qui a ses règles à son époque normale [7]. Ou si vous préférez, la règle devait être qu’une femme n’est considérée comme zabah [8] que pendant le jour, car il est écrit “tous les jours de son flux” [9]. [40]

 

ABODAH ZARAH, 36b-37a :

 

« Rabbi Naham ben Isaac a dit : “Au sujet des enfants païens, ils [46] décrétèrent que les rapports sexuels pourraient causer une souillure par l’émission de leur sperme [2], et qu’un enfant israélite ne devait donc pas prendre l’habitude de commettre des actes de pédérastie avec ces animaux [47]. (...) À partir de quelle âge un enfant païen déclenche-t-il la souillure par l’émission de son sperme ? À partir de neuf ans et un jour. (37a) Dès lors qu’il est capable de l’acte sexuel, il souille en répandant son sperme.” Rabina a dit : “Il faut donc conclure qu’une petite fille païenne souille depuis l’âge de trois ans et un jour, attendu qu’elle est alors capable de participer à l’acte sexuel, elle peut donc parfaitement souiller par l’intermédiaire de ses humeurs vaginale.”

 

SOTAH, 26b :

 

« Rabbi Papa a dit : “Cela ne concerne pas les rapports avec un animal, parce qu’il ne peut pas y avoir d’adultère avec les animaux [4].” Raba de (Page 42) Parazika [5] interrogea Rabbi Ashi en ces termes : “Sur quoi se base cette affirmation des rabbins selon laquelle il n’y a pas d’adultère dans les relations sexuelles avec un animal ? Car il est écrit : ‘Tu n’apporteras pas le salaire d’une prostituée ni le salaire d’un chien dans le temple du Seigneur...’ [6] ; et il a été aussi enseigné que le salaire d’un chien [7] et le salaire d’une prostituée [8] sont inacceptables, car il est dit : ‘L’un et l’autre... [9]’ ” – Les deux sont des abomination comme le fait de coucher [10] avec un homme (...). Abaye lui a répondu que dans ce cas c’était seulement un acte obscène, et non un adultère, et que le Tout-Miséricordieux n’interdisait pas une femme à son mari pour un acte obscène.

 

YEBAMOTH, 55b :

 

« (...) Ne sont pas passibles [54], les rapports sexuels avec une femme mariée effectués avec un membre mou [13]. Ce qui nous permet de conserver une (Page 43) interprétation en accord avec ceux qui disent que si un homme a des rapports avec un parent à lui, parent faisant partie des proches qu’il n’a pas le droit de toucher après leurs morts [55], mais que ce rapport sexuel ait été effectué avec un membre mou, cet homme est innocenté [14]. Mais que peut-on dire maintenant à propos de ceux qui disent que pour un tel acte, un homme est quand même coupable ? – Ceux-là parlent du cas où le rapport sexuel a lieu avec la morte elle-même [15]. Car il a été présumé qu’une femme, même après sa mort, appartient toujours le cas échéant à la catégorie des parents qu’il est interdit de toucher [ [16 ], on se rend donc coupable en ayant des rapports sexuels avec son corps, car c’est toujours une femme mariée. Mais dans le cas d’une parente vivante, on est innocenté si le rapport sexuel est fait avec un membre mou.

 

YEBAMOTH, 103a-103b :

 

« Le serpent copula avec Ève [14] avec toute son animalité. L’animalité des Israélites disparut lorsqu’ils se tenaient au Mont Sinaï [16]. Mais l’animalité des idolâtres, qui n’étaient pas au mont Sinaï, demeura. [58]

 

YEBAMOTH, 63a :

 

« Rabbi Éléazar demande un peu plus loin : “Qu’est-il signifié par ce passage des Écritures : ‘Celle-ci enfin [5] est os de mes os, et chair de ma chair’ ?” – Ce passage enseigne qu’Adam a eu des rapports sexuels avec toutes les bêtes et tous les animaux, mais ne trouva de satisfaction qu’avec Ève. (Page 44)

 

YEBAMOTH, 60b :

 

« Ainsi que le révèle le rabbin Joshua ben Lévi : “Il y avait une ville sur la Terre d’Israël, où la légitimité d’un habitant était disputée, et Rabbi envoya Rabbi Ramanos qui mena une enquête. Rabbi Ramanos trouva dans cette ville la fille d’un prosélyte [13] qui n’avait pas encore trois ans et un jour [14], et Rabbi a déclaré : ‘Elle peut vivre avec un prêtre. [15]’ ”

 

YEBAMOTH, 59b :

 

« Rabbi Shimi ben Hiyya a déclaré : “Une femme qui a des rapports avec une bête peut épouser un prêtre [4]. Car on nous a enseigné qu’une femme qui a des rapports sexuels avec ce qui n’est pas un être humain [5] est autorisée à se marier avec un prêtre, bien qu’elle soit néanmoins passible de la lapidation. [6]”

 

(Page 45) YEBAMOTH, 12b :

 

« Rabbi Bebai a récité tous ces cas particuliers devant Rabbi Naham : “Trois catégories de femmes peuvent  [7] utiliser un absorbant [8] dans leurs relations sexuelles avec leur mari [9]. Une mineure, une femme enceinte, et une nourrice. La mineure parce qu’elle pourrait (sinon) devenir enceinte, et ainsi pourrait mourir (...)” Et quel doit être l’âge de cette mineure [10] ? Entre onze ans et un jour et douze ans et un jour. Celles qui sont plus jeunes [11], ou celles qui sont plus vieilles [12], doivent avoir des relations sexuelles avec leurs maris de la manière habituelle. »

 

YEBAMOTH, 59b :

 

« Quand Rabbi Dimi arriva [8], il raconta ceci : “Il est arrivé un jour à Haitalu [9] que pendant qu’une jeune femme balayait le sol [10], un chien du village [11] la couvrit par l’arrière [12], mais Rabbi lui permit d’épouser un prêtre.” Samuel a dit : “Même un Grand Prêtre !” »

 

KETHUBOTH, 6b :

 

« Il lui dit : “C’est pas comme ces Babyloniens, qui n’ont pas le talent pour remuer de côté [7], il y en a ici beaucoup qui ont ce talent [8], et s’il l’a [9], pourquoi s’inquiéter ? [10] – Mais s’il ne l’a pas, alors il faut lui dire : ‘Celui qui a ce talent est autorisé à faire le premier rapport sexuel avec sa nouvelle femme le jour du Sabbat, celui qui ne l’a pas n’y est pas autorisé.’ – Mais la plupart ont ce talent [11]”. Mais Raba, le fils de Rabbi Hanan dit à Abaye : “Si tel était le cas, alors à quoi bon la présence du serviteur [12], et à quoi bon le drap ? [13]” – Mais Abaye lui répondit : “Le serviteur et le drap sont nécessaires parce que le mari, laissé seul, pourrait détruire la preuve de la virginité de sa femme [14].”

 

(Page 46) Mon cher Docteur Goldstein, après que vous ayez personnellement pris connaissance de ces citations rigoureusement fidèles du Talmud dans l’Édition Soncino — citations que j’ai à peine choisies parmi leurs innombrables sœurs — pensez-vous toujours que le Talmud soit le « genre de livre » duquel Jésus-Christ « a puisé les enseignements qui lui ont permis de révolutionner le monde » ? Vous avez lu ici des citations mot pour mot de la traduction anglaise annotée du Talmud, et bien d’autres sujets passionnants sont couverts dans ces 63 livres qui constituent le Talmud. Pour lire ces citations, il faut être bien accroché n’est-ce pas ? Je suis surpris que la Poste des États-Unis ne mette pas le Talmud sur la liste des ouvrages interdits à l’envoi ; j’ai hésité à vous les envoyer.

 

11. Les Juifs et les Chrétiens sont-ils des frères ? (Page 67)

 

Compte tenu de ce que nous savons maintenant, quel peut être le degré de sincérité de toutes les paroles mielleuses qu’on entend dans les « mouvements de fraternité entre les Juifs et les chrétiens », ou dans les « mouvements promouvant une communauté de foi entre les Juifs et les chrétiens » ? Ces mouvements qui pullulent littéralement, sont en train de dévaster toutes les nations. Si les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) qui sont dans ces mouvements, utilisent le Talmud comme règle de leurs activités politiques, économiques et sociales, quel peut être le degré de sincérité de tous les serments, les vœux ou les promesses qu’ils pourraient être amenés à faire ? Ce serait pour le coup un geste sans pareil de « fraternité » et de « communauté de foi », si la Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs parvenait à expurger du Talmud la multitude des passages attaquant directement le Christ, les chrétiens ou le christianisme. Au prix d’un grand nombre de millions de dollars, cette Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs est en revanche parvenu à expurger du Nouveau Testament, les passages que les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) considéraient comme « une offense à leur foi ». Une grande partie des fonds nécessaires furent amenés par les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés). Les Chrétiens devraient donc maintenant réunir eu aussi un petit pactole, afin d’expurger du Talmud les passages outrageant la foi chrétienne, car sinon, de tels mouvements de « fraternité » ou de « foi commune » ne servent qu’à tourner le christianisme en dérision. Et pendant qu’elle y est, la Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs pourrait jeter un coup d’œil sur les millions de dollars investis aujourd’hui par les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés), pour s’assurer que le Talmud reste bien le seul axe des activités politiques, économiques, culturelles et sociales de tous leurs coreligionnaires d’aujourd’hui et de demain. Car, violant les principes de base de toute « fraternité » et de toute « communauté de foi », les Juifs (prétendus ou autoproclamés) dépensent des millions de dollars chaque année, pour équiper des centres où le Talmud pourra être inculqué au plus profond du cerveau de leurs enfants. Ces quelques nouveaux articles ont été choisis parmi les centaines d’autres qui apparaissent quotidiennement dans les journaux du pays :

 

« Deux nouveaux Centres d’Enseignement Israélite, dont la construction a coûté 300 000 $, seront ouverts le mois prochain, ils pourront accueillir 1 000 étudiants pendant la semaine, et permettront également d’ouvrir une École du dimanche, cette annonce nous vient de l’association La Torah du Talmud. » [Herald Tribune de Chicago, 19/08/1950.]

« Le Département de l’École Yeshiva offre maintenant un programme complet d’anglais/hébreu, conforme à l’enseignement rabbinique. Les cours iront de la classe 1 qu’à la classe 5 (de 5 ans et demi jusqu’à 10 ans). La (Page 68) section Talmud-Torah de l’après midi a ouvert une nouvelle classe pour l’enseignement de base, elle reçoit les débutants comme les enfants qui sont déjà avancés dans l’étude. » [La Voix Juive, 18/09/1953.]

« UN RABBIN PARLE DU TALMUD AUX HOMMES DE PAIX. Le Docteur David Graubert président des rabbins de Bet Din, et professeur de littérature rabbinique à l’Université des Études Juives, va présenter la première de ses quatre conférences dont le thème général est : Le Monde du Talmud. » [Chicago Tribune, 59/10/1953.]

« LE MARYLAND[84] RECONNAÎT DES DEGRÉS UNIVERSITAIRES ET UN DIPLÔME DANS LA CONNAISSANCE DU TALMUD. Baltimore. Le Comité Fédéral d’Éducation du Maryland a autorisé le Nouveau Collège Rabbinique d’Israël à décerner une licence et un doctorat es Loi Talmudique. » [La Voix Juive, 01/09/53.]

« DES COURS DE TALMUD À L’ANTENNE DEPUIS JÉRUSALEM.

 

SUITE III/IV EN CLIQUANT SUR :

 

NOMBREUX PASSAGES DU TALMUD (III/IV). - Le Présent éternel

 

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